Gwendoline Schaff est doctorante à la Faculté d’Architecture et est titulaire d’un Master en Architecture, spécialisé en Art de Bâtir et Urbanisme. Après une année en tant qu’assistante au sein de la Faculté, elle a décroché une bourse ‘Aspirant FNRS’. Elle réalise actuellement son doctorat dans le laboratoire de recherche TEAM11 de la Faculté d’Architecture de l’Université de Liège ainsi que dans le laboratoire ArcK de la Faculté d’Architecture et des Arts de l’Université de Hasselt (co-tutelle). Ses promoteurs sont Fabienne Courtejoie (FA – ULiège), Catherine Elsen (FSA – ULiège), Ann Petermans et Jan Vanrie (FAA – UHasselt).

 

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En septembre 2020, elle présentait succinctement son sujet de thèse dans le cadre de l'exposition des travaux des étudiants de l'année académique 19-20. Cette exposition est toujours disponible à l'adresse www.archi.uliege.be/expo2020

Titre de la thèse

Habiter & vieillir : dispositifs spatiaux et méthodologiques pour l’architecture du chez-soi en Wallonie

L’objet, le contexte et les enjeux de la recherche

Nos sociétés font actuellement face à un vieillissement démographique sans précédent. Si l’augmentation de l’espérance de vie a de quoi nous réjouir, elle entraine également des répercussions dans de nombreux domaines, notamment celui du logement. Quels seront les lieux de vie des aînés de demain ?

Cette recherche, liant architecture et gérontologie, interroge l’habitat non institutionnel pour seniors en Wallonie. Elle vise une identification et compréhension des facteurs influençant le ‘bien vieillir chez soi’, et questionne également en quoi et de quelle(s) manière(s) l’architecture peut améliorer le quotidien des personnes âgées dans ce processus.

Trois questions de recherche sont ainsi posées :

(a) Quels sont les attentes et facteurs de bien-être des personnes âgées en regard de leur logement ?

(b) Quels dispositifs spatiaux peuvent créer ou renforcer un sentiment de ‘chez-soi’ pour ces seniors ?

(c) Comment les concepteurs peuvent-ils intervenir sur l’habitat des aînés afin de favoriser la qualité de leur cadre de vie et ainsi leur permettre de vivre le plus longtemps et agréablement possible au sein d’un logement non institutionnel ?

Pour aborder ces problématiques relativement sensibles et multidisciplinaires, une approche qualitative au travers de différentes méthodes (notamment entretiens, focus groups et cas d’étude) et auprès de différents acteurs (notamment seniors, futurs seniors et architectes) est privilégiée.

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